La possession et l’exhibition publique d’une montre en or permettent à un individu d’affirmer sa valeur. Effectivement, en plus de son esthétique et de son utilité, cet accessoire dispose aussi d’une grande valeur marchande. D’ailleurs, il est possible de revendre une montre en or, et ce, même si vous n’êtes pas un professionnel dans ce domaine. Néanmoins, ce type de transaction implique la présentation d’un certain nombre de documents. À ce propos, beaucoup se demandent s’il faut un certificat pour vendre une montre en or. Nous vous apportons la réponse à cette question à travers le présent article.
Vente de montre en or : généralités
L’apparition des montres en or, sur le marché, a complètement bouleversé l’histoire de l’horlogerie. Cet accessoire outrepasse sa fonction première, notamment celle de donner l’heure à son propriétaire. Certes, il est agréable de porter des bijoux faits à la main, mais le recours à des métaux et des pierres précieux pour la conception d’une montre optimise grandement sa valeur. D’ailleurs, les orfèvres utilisent actuellement différentes technologies pour la fabrication des montres. Il est alors possible de se procurer une montre ornée d’ors, ou de diamants, de bonne qualité. Les fabricants fournissent aussi un document avec le bijou afin de prouver son authenticité, ce qui facilitera la vente. Néanmoins, lors de la revente, il est fortement recommandé de contacter des spécialistes en rachat de montres précieuses pour en tirer un bon prix. Cette initiative vous permettra également de déjouer les arnaques.
Vendre une montre en or : les impératifs
Notons que l’investissement dans l’or est soumis à une certaine norme. D’abord, il est important de savoir que le paiement devrait être effectué par virement car un versement en espèces est en principe prohibé pour ce genre de transaction. Cette alternative permettra par la suite de fournir une pièce justificative. De plus, si vous contactez un spécialiste en achat d’or pour revendre votre montre, le prestataire effectuera obligatoirement une expertise afin de vérifier l’authenticité de l’objet. En effet, la montre devra passer par plusieurs tests afin de connaître le carat des métaux jaunes et des pierres qui l’ornent. Cette étape est indispensable pour la vente d’une montre en or ou d’un lingot d’or. Un technicien vérifiera également l’état de la montre pour détecter les pannes de son système d’horlogerie. Une réparation sera de mise si des défauts sont constatés. Enfin, il faudra présenter un certain nombre de documents lors de la revente afin de prouver la légalité de la transaction.
Transactions pour une montre en or : les documents indispensables
Lors de la revente d’une montre en or, il est indispensable que le revendeur présente une pièce d’identité. En effet, seules les personnes majeures peuvent réaliser des transactions de métaux précieux et une copie certifiée de la carte d’identité, ou du passeport, du vendeur devrait être fournie au bureau de rachat. D’autre part, pour qu’une personne soit autorisée à se débarrasser d’une montre en or, un contrat de pré-vente devrait être rédigé, selon la loi Hamon. Cette loi offre aussi un délai de rétractation de 48 heures après la signature de ce contrat, si éventuellement le revendeur change d’avis. Enfin, un certificat d’authenticité peut être demandé par le prestataire qui se charge du rachat. Ce document permettra de prouver la qualité des métaux précieux utilisés pour la fabrication de la montre. Néanmoins, l’acheteur passera toujours par une expertise de la montre pour vérifier son authenticité. D’ailleurs, il est possible que le propriétaire de la montre en or ne dispose pas d’un certificat s’il a obtenu le bijou via une succession.
En somme, la présentation d’un certificat d’authenticité vous permettra de justifier la valeur de la montre et d’en tirer un bon prix. Néanmoins, ce document n’est pas obligatoire pour la transaction, vu que l’acheteur procédera toujours à une expertise pour garantir son investissement. Cette dernière permettra de rédiger un autre document pour attester l’authenticité, dans le cas où le certificat serait inexistant au moment de la transaction.